Les Vacances 12: Mon Cousin Stéphane Ne Se Lâche Qu’En Trio!

Je me réveille seul dans mon lit, vers 22 heures, après ce moment très fort avec Marie Anne, mon infirmière et mon cousin qui a fini par un 69 endiablé entre mecs. Je me lève et part à sa recherche, il est devant la piscine, une bière à la main. Je vais m’en chercher une et je sors le rejoindre. En me voyant arriver, il est plutôt gêné, je décide de briser le silence avec des banalités.

Je le sens un peu stressé ou tendu, alors je décide de laisser l’alcool agir et me tais pour le moment. Pour le diner nous ouvrons une bouteille de rouge et je m’applique à le servir régulièrement. Après avoir mangé je lui demande de nous servir un digestif et malgré l’alcool je n’obtiens pas plus d’information sur son attirance pour les hommes, c’est même le contraire puisqu’il se ferme et se dépêche de disparaitre dans sa chambre.

Quand je suis seul et nu dans mon lit je repense à cette fin de journée, malgré toute l’énergie dépensée je bande. Avec la venue de Marie Anne le lendemain et les possibilités qui s’ouvrent avec mon cousin je préfère ne pas me branler et me réserver. J’ai du mal à me calmer mais je finis quand même par m’endormir.

Le lendemain quand je me réveille j’ai toujours les mêmes questions en tête concernant Stéphane. Je m’installe dans mon fauteuil roulant, je décide de rester complètement nu ça le fera peut être réagir. Je me dirige vers la cuisine, mon cousin n’y est pas. Dans sa chambre et dehors non plus, je vais me faire couler un café et je découvre un mot:
« Encore un point de boulot à conclure, je devrais être de retour dans l’après midi. »

Un peu déçu, j’enfile un caleçon pour prendre mon petit déjeuner seul puis je me remet à écrire mes dernières aventures. En ce moment je vis tellement de bonnes choses sexuellement qu’il faut que je n’oublie aucun détail. Je m’arrête quand mon ventre commence à gargouiller. Je me prépare un truc à grignoter et je continue mes histoires jusqu’à être interrompu par mon téléphone.



C’est un message de mon infirmière préférée qui m’annonce qu’elle ne viendra qu’en fin de journée, pas avant 18 heures. Il ne me reste plus qu’à attendre le retour de mon cousin pour avoir un peu d’animation. J’en ai un peu marre d’être sur mon ordinateur alors j’arrête.

Il est déjà 16 heures et aucune nouvelle de Stéphane, je lui fais un message pour savoir comment il va et le prévenir du retard de mon infirmière que nous avons partagé hier. Une demi heure après je n’ai toujours pas reçu de réponse. Quand je commence à m’inquiéter je l’appelle et je tombe directement sur le répondeur.

Je lui laisse un message juste pour avoir des nouvelles. Je réessaye 20 minutes plus tard et encore une fois c’est directement répondeur. Je ne laisse pas de message. J’appelle mon oncle et ma tante pour savoir s’ils ont des nouvelles de leur fils. Ils l’ont vu hier mais depuis rien alors que je pensais qu’il devait rencontre un client avec son père! J’espère qu’il est pas en fuite à cause de la veille.

Je continue d’essayer de le joindre régulièrement mais toujours répondeur. Je suis interrompu par les crissements des pneus de la voiture de mon infirmière. Quand elle rentre dans la maison, Marie Anne est bien plus souriante que la veille. Elle m’annonce directement:
« On s’y met directement! »

Nous allons dans la chambre et pendant qu’elle s’occupe de ma jambe, elle me demande si on s’est bien amusé après son départ. Même si je suis plus étonné de rien venant d’elle je ne sais pas trop comment lui répondre. Après un moment d’hésitation je lui avoue que l’on a rien fait et même que mon cousin s’est totalement fermé quand j’ai essayé de lui parler.

J’ose enfin lui demander:
« Tu savais que Stéphane est bi? »
Elle me dit qu’officiellement non mais que pendant leur aventure, ils ont fait des trios et même des partouzes qu’il n’a jamais rien fait avec des mecs devant elle mais qu’elle s’est toujours poser la question vu certains regards.


J’essaye d’en savoir plus mais c’est l’heure de la douche, tout se fait dans un grand silence. Pendant qu’elle me savonne, elle me dit:
« Tu dois connaitre ses parents. »
Je lui réponds que oui et je comprends tout de suite ou elle veut en venir. Même si nous sommes de la même famille nous n’avons pas du tout eu la même éducation.

Mes parents ne connaissent rien de ma sexualité mais ils ont une grande ouverture d’esprit que n’ont pas mon oncle et ma tante. Je pense que du coup il n’arrivera jamais à dire qu’il est attiré par le corps des hommes. Je fais part de ma réflexion à mon infirmière qui est d’accord avec moi. Nous en concluons que c’est vraiment dommage pour lui parce qu’il gâche une partie de sa vie pour rien.

Une fois sec je m’installe sur mon lit et pendant que Marie Anne refait mon pansement je lui demande si elle aussi est bi. Elle me dit qu’elle a déjà essayé avec des filles mais que ça ne lui a jamais plu. Par contre qu’elle est très excité de voir deux hommes et que dans ces moments de solitude ça lui arrive de se masturber devant du porno gay.

Notre chaude conversation est interrompue par la porte d’entrée qui claque du coup je crie:
« Stéphane? »
Mon cousin me répond un petit « oui » et ensuite je l’entends toquer à la porte de ma chambre qui est entre-ouverte. Je suis entièrement nu sur mon lit et mon infirmière n’a pas fini mon pansement quand je lui dis de rentrer.

Il nous regarde pas directement, je lui demande si tout va bien et il me répond encore un petit « oui ». Marie Anne lui dit que nous avons bientôt fini et lui demande de préparer un thé. Quand nous nous retrouvons seul, mon infirmière me demande si j’ai envie de recommencer notre expérience de la vieille. Evidement je lui réponds que je suis partant.

Elle m’aide à enfiler un pantalon de jogging, au passage elle dépose un baiser sur mon gland qui me fait frémir. Ensuite elle me tend un t-shirt et nous allons rejoindre mon cousin.
Sur la table basse du salon, nous voyons une théière et 3 tasses, Stéphane est assis dans le grand canapé noir. Je m’installe à l’autre bout et mon infirmière vient s’assoir entre nous.

Nous buvons notre thé dans un grand silence mais Marie Anne se charge de régler ça. Elle pose sa tasse sur la table devant nous et ensuite sa main droite sur la cuisse de mon cousin et la gauche sur moi. Je regarde Stéphane droit dans les yeux mais il détourne mon regard et se penche pour embrasser la dame à pleine bouche. Il lui malaxe le sein le plus proche de lui à travers le chemisier.

Les mains de mon infirmière remontent vers nos queues, je me penche pour lui embrasser le cou. Je lui caresse la jambe coller à moi en remontant bien pour que mon index vienne taper sa chatte à travers ses habits. Marie Anne commence déjà à gémir malgré la langue de Stéphane qui est dans sa bouche.

Quand elle pose ses mains directement sur nos paquets, leurs lèvres se décollent. J’en profite pour tourner la tête de mon infirmière vers moi et lui bouffer la bouche à mon tour. Je pose ma main sur son entrejambe et lui caresse le sexe à travers ses habits. Les doigts de Stéphane, qui caresse la jambe de notre belle, viennent cogner ma main. Il la retire tout de suite, gêné par ce simple contact.

Quand mes lèvres quittent le visage de mon infirmières elle relâche nos bites pour enlever son chemisier et son soutien gorges. Je me jette sur son sein gauche que je commence à lécher en remontant tactiquement vers son téton. La main de mon cousin cogne de nouveau la mienne sur l’entrejambe de notre amie, j’enlace ses doigts entre les miens pour que nous malaxions ensemble l’intimité de notre proie.

Au bout de plusieurs minutes, Marie Anne se lève pour se déshabiller entièrement. Une fois complètement nue, elle s’agenouille entre les jambes de Stéphane, déboutonne un à un les boutons de son pantalon. Elle le fait descendre sur ses chevilles et lèche le sexe tendu de mon cousin à travers son caleçon.


Quand sa tête se relève je remarque que le tissu, qui cache la bite de Stéphane, est trempé. Elle se lève et dénude complètement notre compagnon de jeu, son sexe raide remonte comme un ressort. Elle se cambre bien pour lécher le galnd de mon cousin. Ses fesses sont tellement cambrées que je ne peux résister à les caresser.

Ses léchouilles sont très furtives puis elle vient rapidement vers moi. Elle tire d’un coup sec sur mon jogging, je suis aussi excité que mon cousin alors ma queue se dresse de sa libération. Pendant qu’elle finit de retirer mon pantalon je retire mon t-shirt. Elle s’agenouille et empoigne mon sexe par la base, elle le redresse et se met à me lécher les couilles et maintient ma bite bien droite.

Stéphane se rapproche de nous tout en se branlant, il garde sa main sur lui et se penche vers moi. Il gobe directement ma queue et commence à faire monter et descendre ses lèvres autour de ma tige. Il les serre encore plus autour de mon frein pendant que sa langue titille chaque centimètre de mon gland pendant que mon infirmière passe de mes couilles à mon cul avec sa langue.

En voyant qu’elle n’est pas la seule à s’occuper de mon costume 3 pièces, mon infirmière empoigne bien mon mat pour faciliter les mouvements de Stéphane autour de ma bite. Marie Anne remonte sur le canapé, j’en profite pour vérifier sa moule et je constate que même ses cuisses sont trempées.

Je plante directement 2 doigts en elle et je sens ma queue encore plus se raidir dans la bouche de mon cousin. Il le ressent et s’excite encore plus sur ma tige, ses dents commencent à rentrer en action. Il m’enfonce au plus profond de sa bouge et me recouvre de salive. Une fois que mon sexe dégouline bien il se relève et enlève son caleçon qui est resté au niveau de ses chevilles.

Mon infirmière décide d’encore plus rentrer dans la danse, elle m’enjambe, m’empoigne et m’enfonce au plus profond de sa moule. Alors qu’elle monte et descend sur moi plutôt lentement, Stéphane s’agenouille entre nos jambes. Je glisse sur le canapé pour changer un peu l’angle de pénétration et surtout offrir l’accès à tout mon entrejambe.

Je sens la langue de me cousin se poser sur ma rondelle et remonter tout doucement vers mes couilles. Puis il lèche la partie de ma tige qui n’est pas dans Marie Anne. Il me quitte pour s’occuper des lèvres intimes de notre amie et surement même de son clito. Elle gémit de plus belle et je frissonne quand je sens sa langue redescendre vers mes fesses.

Je continue à pilonner, pendant un bon moment, la moule de mon infirmière pendant que mon cousin nous suce tous les deux. Puis je sens la bouche de Stéphane nous quitter et Marie Anne se soulever encore plus. En fait c’est lui qui la soulève pour me faire quitter cette grotte inondée. Une fois qu’elle se décale, il m’enjambe en me tournant le dos lui aussi.

Mon infirmière m’empoigne et c’est elle qui dirige ma queue entre ses fesses pour que je sodomise pour la première mon cher cousin. Je m’enfonce en lui sans rencontrer aucune résistance. Hier j’apprenais qu’il suce bien, aujourd’hui en plus d’en avoir la confirmation, je découvre qu’il a l’habitude de se faire ramoner. Que de bonnes surprises.

Une fois que son cul est contre mon pubis, il reste un moment assis sur moi. Marie Anne l’aide à remonter ses pieds sur l’assise du canapé puis elle gobe son gland. Stéphane commence à remonter pour s’enfoncer encore plus la bouche de la belle. Puis quand il ressort d’entre ses belles lèvres charnues il en profite pour renfoncer mon pieu dans ses entrailles.

Mon cousin continue à se faire sucer et sodomiser grâce à ses mouvements, il décide lui même de la vitesse de ces pénétrations. Au bout de quelques minutes Marie Anne recrache ce morceau de chair et att la tête de Stéphane pour la diriger vers son entrejambe. Dans son mouvement elle nous fait basculer ce qui me fait déculer.

Alors qu’elle plaque la tête de mon cousin contre sa chatte, je soulève sa jambe gauche en me glissant derrière. Je le sodomise d’un coup sec qu’il lui fait sortir un cri mélange de douleurs et plaisirs. Je le ramone vigoureusement pour qu’il ne ressente que de la jouissance alors qu’il lèche notre amie.

Il lui rentre des doigts, mais je ne sais combien, ce qui la fait gémir en coeur avec mon cousin. Je passe ma main vers le devant et je branle Stéphane au même rythme que je l’encule. Sa tige est raide et bien dure, je me demande si c’est elle ou moi qui lui donne le plus de plaisir.

Au bout d’un moment mon infirmière se dégage pour se retourner et se mettre à 4 pattes, elle nous présente sa groupe. Je recule violemment de mon cousin et le dirige pour qu’il prenne notre amie en levrette. Une fois qu’il la lime vigoureusement je l’immobilise en l’attrapant par la taille. Je glisse mon gland entre ses fesses et je le pénètre lentement.

Une fois que je suis bien planté en lui, je fais quelques mouvements secs et vigoureux. Puis je décule tout aussi lentement que je suis rentré, quand la base de mon champignon tape l’intérieure de sa rondelle je ne bouge plus. Je donne une bonne claque sur la fesse droite devant moi.

Mon cousin a compris le message, il recule doucement pour se retirer de la grotte de mon infirmière et me faire encore plus rentrer entre ses fesses. Il s’arrête alors qu’un bon quart de ma queue est encore en lui et prend le chemin inverse. Marie Anne lui demande rapidement d’accélérer la cadence, pour le motivé je le fesse régulièrement.

J’adore baiser le baiseur, surtout quand il se plante bien en elle et que je le lime vigoureusement. J’ai l’impression de les posséder les deux en même temps, c’est divin. Elle nous demande encore une fois de changer de position, une fois que j’ai déculé elle plaque mon cousin sur le canapé et s’empale sur lui. Il la soulève et sort de sa chatte pour la sodomiser d’un coup sec.

Je me mets debout à coté d’eux et présente ma tige à mon infirmière pour qu’elle me suce pendant qu’elle monte et descend sur la bite qui la lime. Mais au lieu de ça, Stéphane m’empoigne et me fait rentrer dans sa bouche. C’est donc bien un vrai gourmand de la bite par tous ses trous. Je me demande juste pourquoi il est si different quand on est que tous les deux.

Là n’est pas la question pour l’instant je profite de sa pipe pendant qu’elle monte et descend de plus en plus vite sur lui. Il glisse sa main entre mes cuisses que j’écarte un peu plus pour lui donner un meilleur accès. Pendant que la paume de sa main me malaxe les couilles je sens un de ces doigts venir me titiller la rondelle. J’espère qu’il me prépare pour ensuite faire coulisser son sexe dans mes entrailles.

C’est pas pour le moment, car alors que les réjouissances continuent je vois Marie Anne relever les jambes avant de me dire:
« Viens nous rejoindre, j’ai envie de vous sentir tous les deux en moi. »
Pas besoin de me faire prier, je sors lentement de la bouche de mon cousin qui compresse bien ses lèvres et ses dents contre moi.

Je me glisse entre leurs cuisses, je pose les jambes de notre amie sur mon torse et je rentre délicatement dans sa grotte bien serrée. Nous profitons tous les trois de cette intrusion et une fois que je me suis bien introduit en elle je la ramone tout de suite et vigoureusement. Nos manifestations de plaisirs chantent en coeur.

J’ai du mal à rentrer entièrement en elle alors je me concentre sur la « zone praticable ». Je sens aussi la queue de Stéphane glisser contre la mienne, j’adore sentir ses veines frotter les miennes. Vu comme les trous de Marie Anne se rétrécissent je sens que son orgasme est en approche.

Je pince ses tétons ce qui fini de l’achever dans un plaisir très bruyant. Connaissant bien les hommes je comprends, aux mouvements secs de mon cousin, que lui aussi va venir. Après une dizaine d’allers retours je sens son sexe gonfler et appuyer encore plus contre moi. Mes couilles se remplissent et se raidissent, je m’excite encore plus dans le vagin qui s’élargit.

Je suis interrompu par mon cousin qui me demande de me retenir, il me fait reculer. Il soulève mon infirmière, l’allonge sur le dos en relevant bien son bassin. Pendant qu’il se met à 4 pattes, elle écarte ses fesses à deux mains. Stéphane se penche pour aller récupérer son sperme dans le cul de la belle. A mon tour j’écarte les fesses devant moi et je m’introduis d’un coup sec dans ses entrailles.

Je le lime sauvagement pendant qu’il contracte ses sphincters. Pour augmenter nos plaisirs je reprends les fessées qui le fond rougir. Je ne me contrôle plus et me vide tout en continuant à aller et venir en lui. Avant d’entièrement déculer je compresse bien ma queue pour laisser ton mon sperme dans le cul de mon cousin.

Une fois que je l’ai libéré, il remonte doucement vers mon infirmière pour partagé son sperme avec elle. Une fois que sa bouche est vide, il continue de monter sur elle et met son cul juste au dessus du visage de Marie Anne, il s’accroupie et pousse pour faire ressortir ma semence directement dans la bouche sous lui.

Ce spectacle m’excite énormément et je ne peux m’empêcher de m’approcher d’eux. J’admire les dernières gouttes de mon jus couler de son cul, je m’approche encore plus pour les récupérer avec ma langue. Je la glisse entre ses fesses pour être sur qu’il est vide puis je repousse mon coussin pour à mon tour partager ma semence avec notre amie.

Nous nous affalons tous les 3 sur le canapé et le temps de reprendre nos esprits il est déjà 20 heures bien passé. Quand Marie Anne le réalise elle se dépêche de filer sous la douche pour enlever l’odeur de sexe qu’elle a sur elle avant de retrouver son mec.

Je profite de ce moment entre homme pour demander à mon cousin pourquoi il ne lâche pas autant quand on est tous les deux. Il ne répond pas donc je rajoute:
« Je ne t’attire pas? »
Il met un moment à me répondre que oui beaucoup. Je prends le taureau par les cornes, je m’assoie sur lui et lui roule une pelle magistrale.

Nos langues dansent dans sa bouche à un rythme fou pendant de longues minutes et nous sommes interrompu par le retour de mon infirmière qui envoie un:
« Enfin! »
Nous nous tournons vers elle, puis elle rajoute:
« A demain. »
Une fois qu’elle est partie, nous nous embrassons de nouveau. Je sens que la soirée ne fait que commencer…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!